En même temps, on peut tout aussi bien penser que Georges est le pékin moyen qui écoute (comme nous tous) la radio... mais qui - lui - sait faire naître en lui le Rodho qui saurait tirer la susbtantifique moëlle de ce qu'il écoute.<br />
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S'il éteint la radio, c'est pour aller vite sur sa planche à dessin.<br />
;-)
R
Rodho
09/10/2009 10:17
@ Vincent:tout à fait dans le vrai pour Georges, pour ce qui est de ce qui t'intrigue, j'ai toujours pas compris moi-même...alors...
V
Vincent
09/10/2009 10:07
Ce que j'aime bien, chez Georges, c'est que c'est en quelque sorte l'anti-Rodho (une sorte de contrepoint) : Pendant que l'un s'échine à ironiser sur chaque info (avoir un avis sarcastique et le synthétiser d'un coup de crayon), l'autre relative tout ça, et rappelle, de façon lancinante, que tout ce tintouin médiatique ne mérite peut-être pas tout ce travail.<br />
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J'imagine que plus Rodho trime sur sa planche à dessin, et plus la petite voix sourde de Georges (la tentation de couper la radio et de ne plus avoir donc à réagir) se rappelle à lui.<br />
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C'est bien comme ça qu'il faut l'entendre ?<br />
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Ce qui m'intrigue, en tout cas, c'est ce qui détermine qu'une info sera traitée par Rodho ou mise de côté par Georges : le simple hasard de l'inspiration ou des critères plus raisonnés ?
R
Rodho
08/10/2009 17:32
@jarodd : de quoiii !?<br />
Vous ne pouvez pas dire ça, vous allez déprimer ce pauvre vieux Georges